Le Professeur Paul M. Martin répond le 8 mars 1989 à André Wartelle, suite à la parution d'un article dans L'Histoire. Il reconnaît la puissance des arguments d'André Berthier, consolidés par l'ouvrage de René Potier et la thèse de Jean-Yves Guillaumin. En conclusion, il avoue devoir été très prudent dans son article, “ne souhaitant pas prendre le risque de faire fusiller, à l'oral, des candidats à l'agrégation en défendant mordicus telle ou telle thèse”. Bel aveu de la part d'un professeur d'université.