film

Le 24 janvier 1970, le président Jacques Berger félicite Jean-Pierre Picot pour le succès de son film “Alésia, le procès”. Inquiet de voir que Picot n'est pas passé à Chaux-des-Crotenay depuis 2 ou 3 ans, il lui recommande de reprendre contact avec lui pour qu'il soit mis au courant des dernières révélations du terrain. Cela est important au moment où Picot s'engage dans la publication de son ouvrage dictionnaire Historique de la Gaule. Berger se propose de l'accompagner sur le terrain.

Deux proches d'André Berthier, Marianne Mulon et Albert Girard, transmettent, en 1975, leurs commentaires et suggestions à Berthier sur le projet de scénario du film “Liberté, liberté chérie”

Plusieurs esquisses, par André  Berthier autour de 1975, du scénario  du film “Liberté, liberté chérie” envisagé en collaboration avec le réalisateur Philippe Prince. Cinq actes sont retenus : (1) l'insurrection, (2) César face à la rébellion, (3) Gergovie : la victoire, (4) Alésia : la défaite, (5) la fin d'un rêve. Berthier développe (sous forme de brouillons avec annotations) de nombreuses séquences du scénario et du film.

Le réalisateur Philippe Prince ayant proposé de réaliser un film (“Liberté, Liberté Chérie”) sur l'affaire Alésia et André Berthier ayant élaboré un projet de scénario pour ce film, Berthier adresse un courrier, le 25 juillet 1975, à F. Polge de Combret, conseiller technique à la présidence de la République pour obtenir un rendez-vous en vue de présenter ce scénario. Le Conseiller renvoie sur Pierre Viot, directeur général du Centre national de la cinématographie française (d'où un courrier de Berthier à Viot).