ArchéoJuraSites

Documents conservés par ArchéoJuraSites.

La thèse de M. Jérôme Carcopino : Le prétendu dépeuplement de la région salinoise à l'époque d'Alésia (suite)

Pierre Jeandot poursuit, dans ce 3ème article paru dans le Jura Français en octobre-décembre 1965, sa critique sévère des affirmations de Jérôme Carcopino  (“Les ruses de César”) et plus particulièrement celles relatives aux Séquanes de l'Ouest et au dépeuplement de la région d'Alaise, Salins et des Moidons aux temps préhistoriques. Jeandot rappelle à l'occasion qu'une autre Sequana (autre que la Seine) traversait la Séquanie à l'époque celtique (la Saine actuelle).

Cote de classement: 
J-1965-03196

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Hypothèses étymologiques. Séquanie et Sequana

Dans le Jura Français d'avril-juin 1962, Roger Roux tente de clarifier les hypothèses étymologiques et hydronymiques  relatives à Séquanie et Sequana. Il rappelle qu'outre la Seine, une autre rivière comtoise (la Saine) peut avoir donné aussi son nom à la Séquanie. Mais il développe rapidement un argument selon lequel la Saône aurait pu être reliée à la Seine grâce à des transbordements par chariot, ces deux rivières donnant la Sequana.

Un texte à caractère spéculatif sans aucune référence.

Cote de classement: 
J-1962-03195

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Hydronymie et Mandubiens

Dans le Gaulois n°11 de juin 1975, Mme A. Monnier développe une réflexion sur les termes en rapport avec l'eau relevés dans le Haut-Jura (hydronymie). Sont relevés plusieurs hydronymes concernant les Planches, les Foncine, Mont-Liboz, Fort-du-Plasne, Les Chalesmes ou encore l'Ain, la Lemme, le Hérisson. L'auteur s'étend plus longuement sur le mot mandubien, rappelant les controverses à son sujet, en particulier sur l'origine du mot Doubs.

Cote de classement: 
J-1975-03194

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Le monde universitaire dénonce « une décision incompréhensible”

Armand Spicher revient dans le Progrès du 25 novembre 2004 sur l'éviction de Marie-Jeanne Lambert du Musée d'archéologie de Lons-le-Saunier en faisant état d'un courrier de 10 enseignants et chercheurs de l'Université de Bourgogne - Franche-Comté au maire Jacques Pélissard de Lons-le-Saunier. Dans un petit pavé complémentaire, Spicher évoque le “maudit musée d'archéologie”.

Cote de classement: 
J-2004-03193

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

La bataille d'Alésia

L'encyclopédie Histoire Universelle (Hachette - Le Figaro) consacre 4 pages de son volume 6 à la bataille d'Alésia. L'article rappelle d'emblée que si, selon l'historiographie dominante, on situe Alésia à Alise-Sainte-Reine, la contestation de cette localisation reste forte en raison des incompatibilités entre la topographie du site d'Alise, les résultats des fouilles et le récit de César. L'auteur mentionne les recherches d'André Berthier et sa découverte du possible site de Chaux-des-Crotenay où des fouilles approfondies seraient nécessaires.

Cote de classement: 
O-2006-03192

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

"Alésia à Salins”, terre sacrée

Article du Progrès faisant état de la sortie en janvier 2002 du 2ème cahier de l'ASHPS (Assoc. Scient. et Hist. du Pays de Salins) : on en détaille le contenu dont notamment une critique de Henri Eschbach contre la thèse de Chaux-des-Crotenay.

Cote de classement: 
J-2003-03191

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

La nouvelle bataille d’Alésia. Les défenseurs du site de Guillon

Annie Demontfaucon présente en 2003 dans Le Progrès, deux articles consacrés à la thèse Alésia-Guillon. Le premier présente le travail de Serge Barnoud, géologue, sourcier et écrivain du Beaujolais, qui, après avoir étudié les sites de Chaux-des-Crotenay et du Mont Auxois, en vient à retenir comme crédible la thèse de Bernard Fèvre (Guillon). Le second article complémentaire détaille les découvertes du site de Guillon et revient sur la polémique de la localisation d'Alésia. La recherche de la vérité grâce aux baguettes du sourcier...

Cote de classement: 
J-2003-03190

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Comment un archéologue de Châtelneuf pressentit la vérité sur l’Alésia de César dès 1888...

Ayant étudié attentivement l'ouvrage de Louis-Abel Girardot de 1888 (“Notes sur le plateau de Châtelneuf avant le Moyen Âge”), Madame A. Monnier donne, dans le Gaulois du 2ème semestre 1972, une interprétation personnelle de la façon dont Girardot a certainement bien perçu la signification de sa découverte du plateau du Châtelet (fossé, castrum et mobiliers antiques) mais s'est bien gardé d'avancer la thèse d'une possible Alésia dans les environs pour éviter des remous auprès de ses collègues.

Cote de classement: 
J-1972-03189

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Deux coupes géologiques de la région de Châtelneuf par Louis-Abel Girardot

Deux coupes géologiques dressées par Louis-Abel Girardot pour le territoire de la commune de Châtelneuf. La première coupe (NE-SO) relie la Billaude Dessus au Lac du Vernois en passant par le village de Châtelneuf. La seconde coupe (O-E) relie la Grande Plaine de Châtelneuf (au Sud du poste romain) à Entre-deux-Monts en passant par les vallons du Bataillard et de Pannesières. Document tiré des archives de Louis-Abel Girardot. 

Cote de classement: 
L-1879-03188

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Une Proto-Séquanie existait-elle déjà, comme société organisée au premier Âge du Fer ?

Dans le Jura Français N°88 d'octobre-décembre 1960, le Dr André Marguet donne ses vues sur l'occupation de la Séquanie des plateaux aux temps protohistoriques. Il évoque les très nombreux “pierriers de défrichement” (ou myrialithes) authentiquement faits par les Celtes mais dont très peu recèlent des mobiliers archéologiques. Ces myrialithes abondent sur le plateau d'Amancey, aux Moidons, du côté de Pontarlier... Marguet évoque aussi les pistes transjuranes d'échange dès les débuts de l'Âge du Bronze (les reliefs jurassiens ne sont pas infranchissables).

Cote de classement: 
J-1960-03181

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Pages

Souscrire à ArchéoJuraSites