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L'historien local, Paul Bailly-Masin, retrace l'historique de la communauté paroissiale de Morbier (“Mort-bief”) de Noé après la révolution française. Il évoque l'existence, bien  avant la conquête romaine, d'un chemin tirant droit des plaines de la Saône à Genève par les cols du Morbier, de la Savine et de Saint-Cergues. Il détaille ensuite le développement de la communauté humaine aux époques gallo-romaine puis médiévale, avec érection d'une paroisse. Le texte se termine par l'étude de l'évolution de la paroisse de 1593 à la Révolution.

Notes manuscrites d'un auteur non identifié prises pendant la conférence donnée par Michel Reddé à Lons-le-Saunier en juin 1998 pour présenter les résultats des fouilles de 1991 à 1997. Nombreux points d'interrogation, nombreuses affirmations contestables et des chercheurs-fouilleurs embarrassés pour répondre à des questions pertinentes.

Document de récapitulation par Jacques Berger des différentes interprétations des camps d'Alise par MM. Reddé et Bénard de 1987 à 1997. En 1987, un article de J. Bénard affirme l'existence de dix fortifications romaines fermées autour de l'oppidum du Mont Auxois, et de forme irrégulière inhabituelle. Le rapport des fouilles de 1991 révèle des surprises : le camp I est décrété post-césarien.

Texte manuscrit de M. Monti, copie d'un extrait d'un article de Bernard Fèvre paru dans le Bien Public du 14 novembre 2000. Fèvre (inventeur de la thèse Alésia-Guillon) évoque la décision ministérielle de déclasser le site d'Alésia (Alise-Sainte-Reine) comme site national par arrêté du 27 novembre 1998. Pour B. Fèvre, la décision s'explique par les résultats décevants des fouilles de Michel Reddé de 1991 à 1997. Il évoque aussi le colloque de 1998 à l'Institut Catholique de Paris (250 personnes, dont des observateurs de la direction du Patrimoine) : selon B.