François Giron dresse un portrait d'un équipier fidèle d'André Berthier dans les années 1970, Raymond Lejeune. Dans le générique des équipiers Berthier, l’homme qui, d’emblée, apparaîtrait plutôt comme un timide figurant, un agent de l’ombre, se révèle bien au tout premier rang des actifs pionniers de ces années 1970, surtout lorsqu’on observe d’un peu près ses contributions effectives, ses multiples reconnaissances de terrain et ses comptes rendus des investigations Berthier dans le semestriel “Le Gaulois”.
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