Dans une lettre du 31 janvier 1974, Jean-Paul Morel, directeur des antiquités historiques à Besançon, félicite René Potier pour son livre (Le génie militaire de Vercingétorix), ayant lu celui-ci avec un “extrême intérêt”, mais prend toutefois ses distances par rapport à la thèse Berthier (les fouilles n'ont nullement apporté les preuves). Potier lui répond le 11 février 1974 avec une remarquable maîtrise de son argumentation.
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