Dans cet article du 1er novembre 1976, Madeleine Hours évoque les travaux du Laboratoire de recherche des musées de France en particulier dans le domaine de la métallurgie antique. Elle pointe les difficultés pour déterminer à l'oeil nu la nature et les caractéristiques des métaux et alliages, d'où la nécessité de faire appel à des méthodes quantitatives (notamment la spectrométrie d'émission dans l'ultra-violet, la spectrométrie de masse...).
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