Jacques Berger revient, en 2003, sur l'attaque des "loca praerupta" par les assiégés en précisant que ces "loca praerupta" ne sont pas seulement des hauteurs mais des escarpements qui sont bien identifiables sur le site de Syam/Crans. Il démontre ensuite qu'il est totalement impossible de situer de tels escarpements autour du Mont Auxois ; les défenseurs du site officiel d'Alise les situeraient sur les pentes de la montagne de Flavigny, ce qui rend la bataille finale totalement incohérente.
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