Relations avec l'administration et les décideurs publics ou privés

Le conseiller général, Michel Chavetnoir, prend contact le 24 novembre 1977 avec André Berthier pour de futures coopérations.

Dans ce courrier du 8 décembre 1973 adressé à des amis, proches de Berthier (général Blanc, Maurice Sergent, Paul Eychart ?), René Potier dit avoir été déçu par un dernier courrier de Berthier dans lequel ce dernier semble hésiter sur les combats à mener (“capituler” dit Potier). Il milite pour que soit demandée une nouvelle autorisation de fouille ou sondage même si on risque de les renvoyer d'une procédure à une autre en cercle vicieux. Potier suggère que l'on démontre que l'attitude de la Commission Supérieure des Fouilles (CSRA) est illégale.

Le 25 septembre 1973, Potier profite de la récente nomination de J.Y. Guillaumin (professeur à Lons-le-Saunier)  pour suggérer à Berthier la reprise de contacts avec un historien, ancien pilier de l'équipe Edeine. Il suggère par ailleurs d'envoyer un exemplaire de son livre à Morel et à Millotte, ce qui permettrait de “rompre la glace” avec la circonscription de Besançon. Potier s'interroge sur la possibilité d'adresser un exemplaire de son livre à Rambaud.

Le 26 janvier, Edeine indique à Berthier pouvoir le rencontrer à Paris entre le 15 et le 22 février. Il informe Berthier que la Commission supérieure des fouilles a décidé d'accorder une autorisation de sondages (Edeine aurait préféré des fouilles). Il évoque la Commission de Contrôle imposée en contre-partie de cette autorisation (et que Berthier aurait acceptée) et se montre très perplexe (il ne s'en réjouit pas et trouve cette idée de Commission prématurée).