Site de Syam-Chaux : reconnaissance, prospection

Note (annexe) concernant la reconnaissance de terrain faite aux Planches-en-Montagne, au Sud du village. L'investigation faite en août 1998 (cf. date des photos) a été faite par une équipe de personnes autour de Jacques Berger. Un mur en gros appareil d'une hauteur de 2 m. a été identifié sur plus d'une centaine de mètres ; il aurait pu servir de parement à un  remblai. Les auteurs du document considèrent que ce mur est une partie des fortifications de circonvallation romaine, verrou  bloquant les accès à l'oppidum par le Sud.

Note d'une équipe de membres de l'A.L.E.S.I.A. ayant étudié la butte morainique de Pont-de-la-Chaux, butte trapézoïdale fermant la boucle du gué de la Lemme et qui semble avoir été fortifiée. En partie détruite au nord par les constructions proches du pont actuel, la butte semble avoir été accompagnée à sa base orientale par un fossé  en V de 4 m. de largeur. La partie sud semble avoir été détruite mais une terrasse conserve la trace de trous de poteaux (possible palissade).

Antoinette Brenet transmet le 6 avril 1985 à Christophe Méloche un ensemble de documents préparés par Charles Griffith : photos infra-rouge du Champ des Mottes, coupes du mur duplex par Fabrice Ouziel, plan de la plaine de Syam et de sa fermeture Est. En mai, C. Griffith remettra à C. Méloche un exemplaire des “journaux de bord” depuis l'origine des travaux Berthier. Est également envisagée une reprise du travail d'Edeine sur la résistivité des sols dans la plaine de Syam.

Note d'octobre 1988 de Michel Wartelle relatant sa reconnaissance partielle en août du bois dit La Liège (au Vaudioux) qui a permis de repérer un mur d'une longueur totale de 2.500 m, d'orientation Nord-Sud avec plusieurs changements de direction. Le mur haut de 75 cm se présente avec deux flancs appareillés présentant un léger “fruit”. Au Sud, le mur, en partie détruit, aboutit au profond ravin de la Lemme. Trois structures complémentaires ont été identifiées.

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