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Alésia et la ruse de Carcopino

Article de René Martin intégré aux Mélanges offerts à Jean-Michel Croisille. L'auteur reprend et développe les points forts de la thèse de Jean-Yves Guillaumin soutenue en 1987 (“Alésia et les textes anciens”), thèse faite sous la direction de Jean-Michel Croisille. Il montre que les textes anciens sont suffisamment précis pour rendre improbable une localisation d'Alésia à Alise-Sainte-Reine. Il revient sur le texte de Carcopino “Alésia et les ruses de César” et applique au maître le concept de ruse quand il invente les Séquanes de l'ouest.

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O-2009-01377

Alesia et les textes anciens

Thèse de doctorat d'Etat de Jean-Yves Guillaumin, sous la direction de Jean-Michel Croisille, soutenue à l'Université de Clermont-Ferrand II (juin 1987). Microfilmée, Université de Lille III. Thèse soutenue le mardi 16 juin 1987 à Clermont-Ferrand (Faculté des Lettres et Sciences Humaines) avec mention honorable. Jury composé de P. Jal (Professeur à l'Université de Paris X - Nanterre, président), J.M. Croisille (Professeur à l'Université de Clermont-Ferrand II, rapporteur),  G. Demerson (Professeur à l'Université de Clermont-Ferrand II), Abbé A.

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O-1987-01376

Ce que nous savons aujourd’hui sur la guerre des Gaules. Alésia : polémique pour un site (3)

Cet article de Jean Prasteau d'août 1989 dans Le Figaro, vient compléter les précédents articles sur Gergovie et Bibracte. L'article évoque les interventions de Napoléon III et la polémique qui suivit la désignation d'Alise-Sainte-Reine comme étant l'Alésia officielle. Il rappelle les réactions des jurassiens dont Georges Colomb réfutant cette décision et les multiples tentatives de recherche de la vraie Alésia. On mentionne les fouilles sur Alise-Sainte-Reine qui semblent accréditer la thèse officielle.

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J-1989-01375

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Ce que nous savons aujourd’hui sur la guerre des Gaules. C’est à Bibracte que s’engage le combat final (2)

Dans cet article du Figaro d'août 1989, Georges Suffert évoque la tenue à Bibracte de l'assemblée des chefs des ethnies gauloises. Mais où est Bibracte la capitale des Eduens? Pour l'auteur, la civilisation des oppida, villes fortifiées à proximité de peuplements, est à son apogée. L'oppidum de Bibracte est resté longtemps ignoré. Antérieurement localisée à Autun, c'est au Mont-Beuvray qu'on localise désormais Bibracte. Des fouilles ont été réalisées en 1984 qui mettent bien en évidence les imposantes murailles.

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J-1989-01374

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Le Gaulois d’Alésia (Exposition au Musée de Saint-Germain-en-Laye)

L'article de Laure Bernard évoque l'exposition “Vercingétorix et Alésia” qui se tient au printemps 1994 au Musée des antiquités nationales de St-Germain-en-Laye, exposition qui rend compte de l'exploitation mythique et légendaire de Vercingétorix. L'article évoque les nouvelles fouilles demandées à Michel Reddé sur Alise-Sainte-Reine. “Maquettes, photographies aériennes et relevés topographiques défont définitivement les théories qui tentent de placer Alésia ailleurs en France. Ouf!”

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J-1994-01373

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Ave Caesar : la bataille de Gergovie n’a pas eu lieu

André Peyrin, dans cet article de La Montagne de mars 1988, reprend l'historique de la controverse sur la localisation de Gergovie. D'abord imposés par Napoléon III comme site officiel, le village de Merdogne et son plateau ont été très vite contestés. En 1932, puis en 1945, les regards se tournent vers un autre site, celui des Côtes de Clermont. Paul Eychart, après 30 années de fouilles méthodiques, publie en 1987 un ouvrage complet sur le site des Côtes de Clermont.

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J-1988-01372

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Glozel : solide comme un chêne, Emile Fradin veille toujours sur son musée mystérieux …

L'article de Louis Morel évoque le musée mystérieux d'Emile Fradin à Glozel, lieu-dit de Ferrières-sur-Sichon dans l'Allier. Découvreur en 1924 du site du Champ Duranthon ou Champ des Morts (et de nombreuses tombes), l'inventeur fut accusé de faussaire. Les vestiges sont à l'origine d'une vive controverse.

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J-1988-01371

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Alésia : la consécration 2 044 ans après !

Le journaliste du Bien Public, Michel Huvet, rend compte d'un colloque “très sérieux” qui s'est tenu à Dijon le 24 janvier 1992 avec de grands archéologues, historiens et latinistes pour faire le point à Dijon sur Alésia dont la localisation officielle à Alise-Sainte-Reine “ne semble plus faire de doute”. L'article mentionne l'intervention du conservateur du Musée d'Alésia, Elisabeth Rabeisen, qui donne “sa recette pour fabriquer Alésia quelque part” (3850 sites recensés en Europe!).

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J-1992-01370

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Alésia : la parole est à la défense

Le journal le Bien Public donne la parole à deux défenseurs du site d'Alise-Sainte-Reine, suite à l'article paru le 8 janvier 1991 évoquant la sortie du livre “Alésia” d'André Berthier et André Wartelle. Pour René Goguey, les travaux de César furent si totalement arasés qu'aucun indice n'en subsiste aujourd'hui et les fouilles de Napoléon III ne pouvaient donner qu'un plan incomplet des retranchements.

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J-1991-01369

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Gergovie ou la preuve par trois : toponymie, topographie, archéologie

Cet article du journal La Montagne du 24 avril 1988 reprend la question de la localisation de la bataille de Gergovie. Il présente les arguments de deux défenseurs de la thèse officielle et donc du site de Merdogne (baptisé Gergovie par Napoléon III). Pour ces deux personnes, si on se fonde sur la seule exégèse du texte latin, la plupart des escarpements situés dans un rayon de 100 km autour de Clermont-Ferrand pourraient être de potentielles Gergovie. Les 600 monnaies trouvées sur Merdogne et datant de la Guerre des Gaules constituent pour eux un argument imparable.

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J-1988-01368

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