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Petite note d'André Berthier évoquant, à travers un texte de Gustave Chauvet de 1900, l'ovum anguinum (oeuf de serpent) présent dans des tertres celtiques. Ces tertres non funéraires, comportant une boîte quadrangulaire formée de plaques de pierre, seraient des tertres à sacrifices : à l'intérieur de la boîte était disposé un oursin fossile. Berthier mentionne en note manuscrite deux  articles A. Castan.

Difficile d'attendre de Joël Le Gall un avis favorable à la thèse Berthier telle qu'exposée par René Potier dans son livre paru en 1973 (Le génie militaire de Vercingétorix). La note de lecture pour la Revue des Etudes Latines dévoilent les biais, approximations et autres dénégations du patron du site alisien. À découvrir a posteriori comme un témoignage du sentiment d'impasse dans lequel pouvait alors se trouver Joël Le Gall, n'hésitant même pas à soutenir la thèse de Carcopino sur les Séquanes de l'Ouest. 

André Berthier répond (entre le 16 et le 21 novembre) aux courriers des 6 et 15 novembre 1975 du commandant Méjasson qui met en cause les hypothèses de Potier sur les intentions de Vercingétorix. Berthier démontre, références à l'appui, que Vercingétorix a bien eu vent de l'itinéraire de César et a organisé ses plans d'attaque en conséquence. D'utiles précisions pour comprendre les stratégies et tactiques des acteurs.

Après le rapport du Laboratoire de chimie agricole et biologique (CNAM) de décembre 1976 relatif à une analyse chimique de prélèvements faits au fond du monument circulaire des Abattois, André Berthier a sollicité Annie Delattre, ingénieur-chimiste, expert recommandé par ce laboratoire. A. Delattre répond à la sollicitation de Berthier le 24 janvier 1977. Bien qu'il lui soit difficile de constater à distance, sur les photos, l'épaisseur des couches, elle explique la présence naturelle de carbonate de chaux et de sulfure de fer (cf.