Troisième et dernière partie du long article de J. Carcopino paru en 1958 dans la Revue des Deux-Mondes. Dans la critique de la thèse de G. Colomb (Alaise), Carcopino tente d'abord de se faire l'avocat du diable en s'appuyant d'abord sur Florus qui évoque la destruction complète d'Alésia après le siège mais très vite démontre que le style de Florus ne permet pas d'affirmer cela. Carcopino revient ensuite sur l'argument “Alésia chez les Séquanes” (cf.
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