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Le 14 novembre 1982, l'abbé Guy Villette écrit à Jacques Harmand pour lui adresser un errata à son texte paru dans les Dossiers de l'Histoire (N°40). Il dit nettement à Harmand regretter son explication d'Alise qui est restée la même qu'en 1967 alors que son travail de thèse aurait dû l'amener à se rebeller contre une erreur du XIXe siècle.

Courte note d'information de Guy Villette, en date du 11 février 1983. Il évoque (et reprend intégralement) un article de F. Decaris dans La République du Centre  (“Va-t-on en finir avec Alésia ?”) qui le cite à propos de la thèse Berthier. Il termine sa note en affirmant que tout n'a pas été truquage à Alise mais que les monnaies trouvées aideront à mieux dater l'évènement qui a pu y a voir lieu. Villette indique que Colbert de Beaulieu reconnaît désormais le bien-fondé des conclusions de l'équipe Berthier.

Raymonde Guth adresse le 5 août 1985 une carte postale à André Berthier le remerciant pour ses corrections sur un texte qu'elle a écrit. Elle indique par ailleurs que des personnes de Foncine porteraient en broche des pièces romaines trouvées devant leur porte. Le 30 août suivant, elle revient sur les modifications apportées à son texte (“Sequana” en lecture chez un spécialiste à Lons). Elle informe aussi Berthier d'un prochain Congrès du Néolithique à Lons les 7-9 octobre 85. 

Annick Richard, documentaliste à la Direction des antiquités de Franche-Comté demande à André Berthier, le 2 octobre 1985, d'indiquer sur une carte IGN les vestiges archéologiques identifiés sur le territoire de la commune de Chaux-des-Crotenay (élaboration par la DDE du Jura d'un Plan d'occupation des sols). Le 29 décembre suivant, Annick Richard demande à Berthier un compte rendu succint de ses découvertes pour publication dans le prochain Bulletin de liaison de la Direction des antiquités.