Côtes Chaudes

Lieu-dit sur les communes de Syam et des Planches-en-Montagne, rive orientale des gorges de la Saine. Autre appellation : Côte Chaude.

Observations de M. Lejeune

Dans cet article du Gaulois de fin 1971, Raymond Lejeune dresse l'inventaire d'une quinzaine de structures pierreuses, plates-formes et tumulus  découverts pendant l'été. Il se dit frappé par la quantité de murs et tas de pierres sur le territoire des Planches (il est habitant de ce village) en particulier autour de Montliboz ou de la Montagne Ronde. Son inventaire se poursuit avec des structures identifiées à la Perrena et au Bief de la Pisse.

Cote de classement: 
J-1971-01738

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Encore des murs

Faisant suite à ses observations précédentes publiées dans le Gaulois de 1971, Raymond Lejeune explique dans ce numéro 5 comment il s'y prend pour identifier et localiser les murs et tas de pierres atypiques. Au cours des premiers mois de 1972, il a parcouru le terrain entre Les Planches et Crans identifiant un nombre important de murs très longs ainsi que des plates-formes qui pourraient selon lui être des postes d'observations.

Cote de classement: 
J-1972-01736

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

A la recherche d'Alésia - Observations sur le territoire de la commune des Planches en Montagne

Dans ce numéro 4 du Gaulois, le rédacteur évoque d'abord la conférence suivie par deux cents personnes venues écouter, à Chaux-des-Crotenay, les exposés de MM. Berthier, Edeine et Potier (on signale la découverte de plates-formes et de tumulus en 1971). La revue publie ensuite un texte de M. Lejeune énumérant et détaillant  les très nombreux vestiges anthropiques (murs et fossés) découverts sur le territoire des Planches. L'article se poursuit avec des découvertes à la Perrena (voie romaine) et du côté du Bief de la Pisse.

Cote de classement: 
J-1971-01732

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Des coupes-profils pour mieux comprendre le terrain à Syam - Chaux-des-Crotenay

André Berthier localise Alésia à Chaux-des-Crotenay, où la ville mandubienne (urbs) est identifiée sur la partie sommitale d'un éperon barré. Le texte de César explicite un certain nombre de caractéristiques (ou exigences) géo-topographiques que l'on retrouve bien sur le terrain du territoire de Syam - Chaux-des-Crotenay. Pour autant, la compréhension des mouvements de terrain comme des évènements militaires n'est pas aisée à la lecture des seules cartes au 25/000ème.

Cote de classement: 
J-2012-01685

L'Alésia mandubiorum (cartographie)

L'Alésia mandubiorum (urbs, ville) au sommet de l'oppidum de Chaux-des-Crotenay. Cinq représentations de la ville, de sa position sur l'éperon barré et de son enceinte en appareil cyclopéen: une vue zénithale et quatre vues en perspective selon les quatre points cardinaux.

Cote de classement: 
G-2012-01673

Le goulet de la Saine (cartographie)

Deux vues du “goulet de la Saine”, l'une depuis la plaine de Syam en direction du sud,  l'autre depuis le fond du goulet en direction du nord, avec représentation des points sensibles de la bataille d'Alésia. Vues satellitaires annotées d'après Les Annales d'ALESIA (1984).

Cote de classement: 
G-2012-01637

La Saine, une fabrique à « joyaux »

L'article du Progrès développe l'histoire et les caractéristiques de la rivière Saine (aussi appelée Sene dans le passé) de sa source à Foncine-le-Haut à la confluence avec l'Ain. Une source sacralisée, des gorges puissantes, des décrochements et cascades nombreuses, ses multiples exutoires...  Pour l'auteur, la Saine est bien une des douves mentionnées par César au pied de l'oppidum d'Alésia - Chaux-des-Crotenay. Il émet aussi l'hypothèse que la Saine a pu être, dans un passé lointain, le cours d'eau le plus  important, l'Ain n'étant que son affluent. 

Cote de classement: 
J-1993-01464

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

A propos d'une nouvelle Alésia comtoise

L'archéologue Richard Adam considère dans cet article de 1984 de la Revue Archéologique de l'Est et du Centre-Est que l'hypothèse qui veut situer Alesia à Syam-Cornu est rendue non seulement improbable par l'absence de découvertes archéologiques significatives, mais surtout impossible pour des raisons internes. Le site proposé est en effet trop favorable aux défenseurs pour que les romains y aient échappé à l'anéantissement.

Cote de classement: 
J-1984-00646

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Commentaires sur un épisode de la bataille finale : l'attaque des “Loca praerupta” par les assiégés

Jacques Berger revient, en 2003, sur l'attaque des "loca praerupta" par les assiégés en précisant que ces "loca praerupta" ne sont pas seulement des hauteurs mais des escarpements qui sont bien identifiables sur le site de Syam/Crans. Il démontre ensuite qu'il est totalement impossible de situer de tels escarpements autour du Mont Auxois ; les défenseurs  du site officiel d'Alise les situeraient sur les pentes de la montagne de Flavigny, ce qui rend la bataille finale totalement incohérente.

Cote de classement: 
J-2003-00178

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Esquisse de travaux romains à l'est de l'oppidum

Suite en 1997 de l'article paru dans le précédent Bulletin. Jacques Berger rend compte des reconnaissances de terrain faites sur la partie est de l'oppidum de Chaux-des-Crotenay en 1996 pour déterminer les lignes de contrevallation et de circonvallation des fortifications romaines (“travaux césariens”).

Cote de classement: 
J-1997-00142

Pièces-jointes: 
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.

Pages

Souscrire à Côtes Chaudes