Paul Eychart transmet le 8 août 1972 à André Berthier un courrier et son rapport sur les fouilles de certains des cônes du champ Tissot. Il fait part des conditions pénibles qui l'ont amené à “devoir rectifier une situation compromise” (cf. désaccord avec Edeine) mais considère les résultats de la fouille du cône n°3 comme la preuve incontestable de la valeur de l'hypothèse Berthier. Son rapport sur les fouilles réalisées les 4 et 5 août 72 par Girard, Berthier et Eychart se présente sous la forme de 9 remarques détaillant les observations faites.
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