ArchéoJuraSithèque

Un groupe d'universitaires et archéologues comtois et bourguignons a diffusé au cours du second semestre 2016 un très agressif manifeste s'en prenant violemment à la thèse et à la découverte d'André Berthier et aux personnes et associations les soutenant. Dans la foulée, ce même groupe de “scientifiques” a lancé une pétition sur la plate-forme Change.org et en a adressé copie à divers responsables publics et élus locaux.

Deux articles de F. Jimenez parus dans L'Est Républicain les 6 et 24 novembre. Le premier article (La bataille d’Alésia n’est pas terminée) fait état d'un manifeste diffusé en octobre 2016 par un groupe d'une vingtaine d'universitaires et archéologues francs-comtois et bourguignons, intitulé “Alésia n'est pas dans le Jura”. Le journaliste ayant repris, sans vérifier leur véracité, un certain nombre de propos mensongers de ce manifeste, ArchéoJuraSites a exigé du journal un droit de réponse (voir notice associée).

Le 4 septembre 2016, l'Est Républicain publie une réponse très “musclée” de Franck Ferrand aux signataires du ”manifeste des 21 universitaires”. L'auteur, Jean-Pierre Tenoux, rappelle les tenants et aboutissants de l'affaire et met en relief les arguments de l'historien-journaliste  pour démonter la charge des “manifestants” et surtout pour la préservation des vestiges du site de Chaux-des-Crotenay.

Dans la continuité de la campagne médiatique déclenchée en août 2016 par le MuséoParc et un groupe de 21 universitaires comtois et bourguignons (cf. manifeste contre la thèse Berthier et Chaux-des-Crotenay), l'un des cosignataires du manifeste, Philippe Barral, est interviewé par la journaliste Lucille Topin. Le “spécialiste” reprend les arguments éculés, maintes fois mis en avant par les défenseurs d'Alise-Sainte-Reine. Il n'hésite pas à énoncer des contre-vérités notamment sur les travaux et résultats des sondages d'André Berthier.