Le réalisateur Philippe Prince ayant proposé de réaliser un film (“Liberté, Liberté Chérie”) sur l'affaire Alésia et André Berthier ayant élaboré un projet de scénario pour ce film, Berthier adresse un courrier, le 25 juillet 1975, à F. Polge de Combret, conseiller technique à la présidence de la République pour obtenir un rendez-vous en vue de présenter ce scénario. Le Conseiller renvoie sur Pierre Viot, directeur général du Centre national de la cinématographie française (d'où un courrier de Berthier à Viot).
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