Berthier A.

Le 30 novembre 1979, Albert Girard réagit auprès de Berthier à sa note sur les découvertes faites sur le territoire et notamment sur le tumulus (ustrinum) fouillé par Edeine en 1971 ; il exprime son désaccord par rapport à ce qu'a écrit Berthier. Dans sa lettre, il donne des précisions sur ce qui a été mis au jour lors des sondages (Edeine, Berthier). Pour Girard, il ne s'agit pas d'une structure réalisée par des “militaires pressés” et la finalité de la structure n'est pas militaire (d'autant plus qu'elle semble avoir été construite après la bataille).

Le 5 décembre 1979, le Général Clément Blanc demande à André Berthier de bien vouloir lui envoyer, le moment venu, copie de sa note sur les travaux de l'été 1979, le Général disant à son correspondant “être très attaché à votre longue et patiente entreprise, à la recherche de la vérité historique”. 

Transmettant ses voeux aux Berthier le 4 janvier 1979, Paul Syre évoque plusieurs points intéressant son correspondant. Jean-Yves Guillaumin qui va défendre la “cause” à Clermont-Ferrand a participé à une réunion à Besançon où il représentait Berthier (signe positif de reconnaissance). Il applaudit au choix du nom de la future association (l'A.L.E.S.I.A.) qui va être créée sous peu. Il indique avoir rencontré André Mien qui s'est dit frappé par la structure “papillon de Cornu”.

Agé de 90 ans, le général Henry Martin adresse ses voeux, le 14 janvier 1979, à André Berthier, il se plait à évoquer les traces de la véritable Alésia à Chaux-des-Crotenay.