Lerat L.

Le 20 octobre 1973, René Potier évoque auprès de Berthier la diffusion de son livre auprès de diverses personnalités ainsi que le problème financier que représente la publication du livre. Le 27 octobre, il précise les envois faits ou à faire (il évoque aussi les affabulations du commandant Méjasson).

En novembre et décembre 1965, Elisabeth Houriez (Direction des Archives de France) continue à assurer la liaison avec André Berthier. Dans ses lettres du 10 novembre, du 17 décembre et du 29 décembre, Houriez insiste auprès de Berthier pour que le rapport sur les fouilles de 1965 soit rapidement transmis à Chabert au Bureau des Fouilles et des Antiquités du Ministère ; elle insiste aussi pour qu'une demande d'autorisation de fouille soit transmise également au plus vite.

Le 2 avril 1966, Antoinette Brenet fait le point auprès d'André Berthier de l'avancement de son travail de thèse avec Heurgon et demande à Berthier de lui indiquer le tracé des voies romaines passant par le Jura. Elle fait état d'une cabale en début d'année à la Sorbonne contre la thèse Berthier (elle se propose de “recueillir les ragots”). Dans une autre lettre du 18 juin, elle fait état de sa charge de travail, indique qu'elle continue à travailler sur les voies romaines dans le Jura et propose de venir dans le Jura pendant l'été.

Le 7 avril 1965, André Berthier écrit au préfet du Jura Mac Grath, évoquant l'autorisation  de fouille accordée par la Commission Supérieure des Fouilles pour l'été 1965 dans le secteur de Syam. Il évoque le problème financier d'où une demande de subvention au Conseil général du Jura et une aide que pourrait apporter l'Armée. Le 12 avril suivant, le Préfet lui répond en indiquant qu'il consulte le Service de la Recherche Archéologique au Ministère des Affaires culturelles et invite Berthier à contacter le Colonel Carbuccia (Subdivision Militaire du Jura).