Réagissant aux affirmations de J. Harmand (après la publication du “Vercingétorix” de 1984) selon qui Vercingétorix aurait été complice de César, Guy Villette indique, dans son Bulletin 167 du 7 mai 1984, que les textes anciens empêchent d'admettre Alise-Sainte-Reine et donc que Vercingétorix ne fut ni un traître, ni un imbécile, mais un excellent chef de guerre. Contrairement à Harmand, Villette considère que l'Homme n'est pas friand de mensonges, ni de mythes, mais de vérité.
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