A partir de l'étude du texte de César (Commentaires), Jules Quicherat démontre , en 1858, qu'Alésia ne peut être qu'en Franche-Comté. Il répond par ce texte paru dans la Revue archéologique à un autre article du 1er mai 1858, publié dans la Revue des deux mondes par un auteur anonyme.
Tiré à part de la Revue archéologique, avec une contribution de Jules Quicherat (1865) mettant en cause les affirmations sur les armes trouvées à Alise-Sainte-Reine. L'auteur répond à la publication d'une lettre de M. Verchère de Reffye au Docteur Keller de Zurich “Les armes d'Alise” (novembre 1864). Une grande partie du texte de Quicherat est consacré à l'étude du “pilum” romain et aux fers de javelot. La fin du texte s'intéresse aux épées et glaives.
Communication d'Alphonse Delacroix lue lors de la séance du 10 novembre 1855 à la Société d'Emulation du Doubs, Architecte de la ville de Besançon, Delacroix annonce la découverte d'Alésia au milieu des forêts du côté des hameaux de Sarraz et Alaise. Pour l'auteur, il ne s'agit pas simplement d'une pure curiosité topographique, mais bien de l'éclaircissement définitif du récit de César.
Le Chef d'escadron d'Etat-Major De Coynart conteste, en 1857, les arguments avancés par Jules Quicherat dans le cadre de la controverse sur la localisation d'Alésia.
Article de Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu (1957) sur la numismatique celtique. S'appuyant sur la méthode de la “charactéroscopie”, le numismate étudie diverses trouvailles de monnaies celtiques dont de rares statères d'or.
Cote de classement:
J-1957-00978
Pièces-jointes:
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En 1955, Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu considère que les monnaies recueillies devant Alise-Sainte-Reine offrent à l'historien un faisceau de preuves et donnent au numismate l'un des jalons chronologiques les plus précieux pour l'étude des espèces découvertes sur les oppida de la Gaule.