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Selon Christophe Petit, le siège d'Alésia, date majeure de la Guerre des Gaules, correspond à un événement bref qui s'est déroulé sur un vaste site, il y a plus de deux millénaires. Si les fouilles menées par Napoléon III ont permis de reconnaitre les principales lignes césariennes, les données récentes intégrant toutes les composantes du paysage permettent de proposer une reconstitution de l'environnement du site.

Article de presse du journaliste J. Pagnier, en 1984, sur l'hypothèse ou découverte d'André Berthier localisant Alésia à Chaux-des-Crotenay. Présentation des travaux en cours, notamment dans la zone du Désert où les scientifiques ont dénombré plus de deux cents structures archéologiques à fouiller. 

Article repris le 31 août 1984 dans Le Pontissalien.

Suite à sa visite du site de Chaux-des-Crotenay, la journaliste Emilie Noirac précise dans l'Humanité que, dès 1962, André Berthier entreprend une nouvelle investigation sur la localisation d'Alésia à partir du témoignage des textes latins. Il met au point la méthode du portrait robot puis confronte les résultats théoriques avec le relief de la partie supposée où se trouve Alésia.

Dans une série de conférences publiées en 1866, Jules Tessier commente la “découverte” de l'architecte Fivel qui place Alésia à Novalaise et considère que la cité antique ne peut pas être localisée ni à Alise, ni à Alaise ou Izernore. 

Version numérique disponible sur Google Books.