Blanc C. (Gal)

Dans une tribune libre de la revue de la Mutuelle Nationale Militaire de mars 1984, P. Michalet évoque la thèse d'André Berthier localisant Alésia à Chaux-des-Crotenay, contestant par là-même la thèse officielle imposée par Napoléon III. Le travail de Berthier, déjà connu en milieu militaire grâce à l'action du Général Blanc, est d'une “logique parfaite... et des fouilles récentes prouvent sa véracité”. P. Michalet renvoie à la série des Dossiers de l'Histoire de 1982 et 1983 et à l'article du Point de 1983 (Monadé).

Reproduction dans le Gaulois N°15 (1979) de la conférence faite le 17 août 1978 par André Berthier . L'auteur rappelle sa fidélité à Chaux-des-Crotenay et mentionne d'emblée les obstacles mis devant lui et ses équipes par les hautes autorités administratives. Il explique sa démarche toute focalisée sur les exigences du portrait-robot (dont une pré-figuration avait été esquissée par le Capitaine Gallotti sous le Second Empire).

Le journaliste Guy Pacheu relate dans la Chronique de Caen du 20 novembre 1969 l'implication de deux caennais, Bernard Edeine et René Potier, dans les investigations menées par André Berthier à Chaux-des-Crotenay. L'interview  des deux personnes présente préalablement l'historique de la controverse sur la localisation et la découverte du site de Syam-Cornu par André Berthier grâce à sa méthode du Portrait-Robot.

Dans sa lettre du 18 novembre 1980, André Berthier remercie le général Clément Blanc pour l'envoi de l'article du Colonel Rocolle paru dans Le Casoar (“Alise-Sainte-Reine est bien Alésia”). Berthier pointe les faiblesses du texte  de Rocolle. Il revient notamment sur 5 points essentiels : l'itinéraire de César, les effectifs des troupes romaines et gauloises, la topographie des lieux, les fortifications d'Alise, la position de Chaux-des-Crotenay par rapport à la Suisse. Une remarquable démonstration.