Martin H. (Gén)

Le 19 juin 1964, le général Henry Martin se dit particulièrement intéressé par un texte d'André Berthier et en accord avec les options stratégique et tactique liées à la localisation d'Alésia à Chaux-des-Crotenay (alors que ni Alise, ni Alaise ne peuvent répondre aux exigences  induites par le texte de César). Il propose à Berthier de venir avec lui visiter le site de Chaux pendant l'été. 

Bernard Edeine informe Berthier de la possibilité d'un article à faire paraître dans la revue Archéologia. Berthier lui répond le 29 avril 1970, en suggérant d'inviter les généraux Blanc et Martin à y contribuer. Le 18 mai suivant, Berthier revient sur cette affaire avec les généraux. Il fait surtout le point sur la préparation des fouilles de l'été : inscription des stagiaires, subvention de Chaux-des-Crotenay. Il précise à Edeine qu'il n'y a aucune raison qu'il ne puisse pas accéder aux lieux des fouilles avec ses stagiaires.

André Berthier accuse réception le 1er juin 1972 du bulletin de souscription de l'ouvrage de Potier. Il indique à ce dernier que la photo du morceau de bois trouvé dans un cône du champ Tissot est impressionnante et informe Potier sur ses demandes de subventions. 

Après avoir reçu l'autorisation de fouilles pour l'été 1972 de la part de J.P. Millotte (nouveau directeur des antiquités de Franche-Comté), André Berthier se met en quête de subventions. Il s'adresse au Président du Conseil général, M. Socié (2 mai - “appel pathétique” -  et relance le 26 juin) et au Maire de Chaux-des-Crotenay, M. Gérard (le 15 mai). Berthier écrit le 16 mai à Daroles, conseiller technique du Ministre Duhamel, pour que ce dernier intervienne auprès du Conseil général du Jura.