4-Alésia-Chaux, la démarche et la découverte d'A. Berthier

Le 18 avril 1970, André Berthier écrit à M. Mercier (fils de Gustave Mercier, initiateur du Musée de Constantine) lui demandant d'intervenir auprès du PDG de la société Rhône-Poulenc (W. Baumgartner, cousin de Mercier). Il précise qu'il vient d'avoir la promesse d'une subvention de la part de la Société Française des Pétroles Algériens. Mercier lui répond le 22 avril précisant qu'il écrit le jour même à Baumgartner (malheureusement sans suite). 

Le 5 mars 1970, André Berthier soumet pour avis à Maurice Sergent un projet de texte d'appel à mécènes (placet), à adresser à des P.D.G. de grandes sociétés, projet suggéré par H. Hierche.  Le 13 mars 1970, Maurice Sergent donne son avis , suggérant un texte plus adapté à la cible visée. Il reprend la suggestion de Hierche indiquant qu'il ne s'agit pas de faire une large diffusion mais plutôt de cibler quelques personnes dont on peut penser qu'elles seront favorables.

Le 25 juin 1970, André Berthier remercie Potier pour l'envoi des copies des illustrations de son futur ouvrage. Il lui annonce sa venue à Chaux-des-Crotenay à partir de la mi-juillet. Berthier évoque son changement de situation au Musée de Constantine alors qu'il doit terminer ses deux ouvrages sur Tiddis et la Numidie.

Bernard Edeine informe Berthier de la possibilité d'un article à faire paraître dans la revue Archéologia. Berthier lui répond le 29 avril 1970, en suggérant d'inviter les généraux Blanc et Martin à y contribuer. Le 18 mai suivant, Berthier revient sur cette affaire avec les généraux. Il fait surtout le point sur la préparation des fouilles de l'été : inscription des stagiaires, subvention de Chaux-des-Crotenay. Il précise à Edeine qu'il n'y a aucune raison qu'il ne puisse pas accéder aux lieux des fouilles avec ses stagiaires.