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On vise à référencer ici des articles de revues spécialisé, de magazines ou de journaux (presse) ayant fait l'objet d'une publication formelle, commerciale ou non (bulletin d'association...).

Ne doivent pas être inclus dans cette catégorie les projets d'articles restés à l'état non publiés, ni les rapports d'étude, ni les chapitres d'ouvrages. 

Hypothèses étymologiques. Séquanie et Sequana

Dans le Jura Français d'avril-juin 1962, Roger Roux tente de clarifier les hypothèses étymologiques et hydronymiques  relatives à Séquanie et Sequana. Il rappelle qu'outre la Seine, une autre rivière comtoise (la Saine) peut avoir donné aussi son nom à la Séquanie. Mais il développe rapidement un argument selon lequel la Saône aurait pu être reliée à la Seine grâce à des transbordements par chariot, ces deux rivières donnant la Sequana.

Un texte à caractère spéculatif sans aucune référence.

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J-1962-03195

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Hydronymie et Mandubiens

Dans le Gaulois n°11 de juin 1975, Mme A. Monnier développe une réflexion sur les termes en rapport avec l'eau relevés dans le Haut-Jura (hydronymie). Sont relevés plusieurs hydronymes concernant les Planches, les Foncine, Mont-Liboz, Fort-du-Plasne, Les Chalesmes ou encore l'Ain, la Lemme, le Hérisson. L'auteur s'étend plus longuement sur le mot mandubien, rappelant les controverses à son sujet, en particulier sur l'origine du mot Doubs.

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J-1975-03194

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Le monde universitaire dénonce « une décision incompréhensible”

Armand Spicher revient dans le Progrès du 25 novembre 2004 sur l'éviction de Marie-Jeanne Lambert du Musée d'archéologie de Lons-le-Saunier en faisant état d'un courrier de 10 enseignants et chercheurs de l'Université de Bourgogne - Franche-Comté au maire Jacques Pélissard de Lons-le-Saunier. Dans un petit pavé complémentaire, Spicher évoque le “maudit musée d'archéologie”.

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J-2004-03193

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"Alésia à Salins”, terre sacrée

Article du Progrès faisant état de la sortie en janvier 2002 du 2ème cahier de l'ASHPS (Assoc. Scient. et Hist. du Pays de Salins) : on en détaille le contenu dont notamment une critique de Henri Eschbach contre la thèse de Chaux-des-Crotenay.

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J-2003-03191

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La nouvelle bataille d’Alésia. Les défenseurs du site de Guillon

Annie Demontfaucon présente en 2003 dans Le Progrès, deux articles consacrés à la thèse Alésia-Guillon. Le premier présente le travail de Serge Barnoud, géologue, sourcier et écrivain du Beaujolais, qui, après avoir étudié les sites de Chaux-des-Crotenay et du Mont Auxois, en vient à retenir comme crédible la thèse de Bernard Fèvre (Guillon). Le second article complémentaire détaille les découvertes du site de Guillon et revient sur la polémique de la localisation d'Alésia. La recherche de la vérité grâce aux baguettes du sourcier...

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J-2003-03190

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Comment un archéologue de Châtelneuf pressentit la vérité sur l’Alésia de César dès 1888...

Ayant étudié attentivement l'ouvrage de Louis-Abel Girardot de 1888 (“Notes sur le plateau de Châtelneuf avant le Moyen Âge”), Madame A. Monnier donne, dans le Gaulois du 2ème semestre 1972, une interprétation personnelle de la façon dont Girardot a certainement bien perçu la signification de sa découverte du plateau du Châtelet (fossé, castrum et mobiliers antiques) mais s'est bien gardé d'avancer la thèse d'une possible Alésia dans les environs pour éviter des remous auprès de ses collègues.

Cote de classement: 
J-1972-03189

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Une Proto-Séquanie existait-elle déjà, comme société organisée au premier Âge du Fer ?

Dans le Jura Français N°88 d'octobre-décembre 1960, le Dr André Marguet donne ses vues sur l'occupation de la Séquanie des plateaux aux temps protohistoriques. Il évoque les très nombreux “pierriers de défrichement” (ou myrialithes) authentiquement faits par les Celtes mais dont très peu recèlent des mobiliers archéologiques. Ces myrialithes abondent sur le plateau d'Amancey, aux Moidons, du côté de Pontarlier... Marguet évoque aussi les pistes transjuranes d'échange dès les débuts de l'Âge du Bronze (les reliefs jurassiens ne sont pas infranchissables).

Cote de classement: 
J-1960-03181

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Après Alise, Alaise, Izernore peut-on chercher ailleurs ? - Salins = Alésia ?

Le Général Henry Martin évoque dans le Jura Français N°87 (juill. sept. 1960) un  article de Pierre Jeandot récemment paru dans la Nouvelle Revue Franc-Comtoise, dans lequel l'auteur prend fait et cause pour une possible nouvelle localisation d'Alésia à Salins-les-Bains.

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J-1960-03180

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Alaise-Myon. Les fouilles & la réunion annuelle

Léon Delamarche rend compte dans le Jura Français N°68 (1955) des sondages sous forme de 3 tranchées réalisées pendant l'été autour d'Alaise sous la direction du professeur Louis Déroche et de Jules Jobard. Des échantillons de terre charbonneuse ont été prélevés et traités au carbone 14, mais sans résultats probants. Léon Delamarche évoque aussi l'assemblée générale du “Comité Georges Colomb”.

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J-1955-03178

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Il n'y a pas de tradition identifiant Alise-Sainte-Reine avec Alésia (suite)

Suite en juillet-septembre 1957, de l'article de Léon Delamarche paru dans le Jura Français d'octobre 1956. L'auteur poursuit sa démonstration de l'absence de tradition pouvant conduire à identifier Alise-Sainte-Reine avec Alésia. Il examine de façon très détaillée les écrits des érudits classiques (XVème - XVIIIème siècles), notant qu'il faut attendre 1741 et B.

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J-1957-03177

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