Comment un archéologue de Châtelneuf pressentit la vérité sur l’Alésia de César dès 1888...

Sous-titre: 
Mais se garda bien de faire connaître les résultats de ses découvertes

Origine du document:

Lieu de conservation:

Type de document:

Cote de classement: 
J-1972-03189

Auteur personne physique:

Langue:

Date: 
12/1972

Personnes physiques citées:

Pagination: 
6 p.
Année de production: 
1972

Titre Revue Périodique:

Numéro périodique: 
6
Références pages de la source: 
pp. 28-33
Note: 

Ayant étudié attentivement l'ouvrage de Louis-Abel Girardot de 1888 (“Notes sur le plateau de Châtelneuf avant le Moyen Âge”), Madame A. Monnier donne, dans le Gaulois du 2ème semestre 1972, une interprétation personnelle de la façon dont Girardot a certainement bien perçu la signification de sa découverte du plateau du Châtelet (fossé, castrum et mobiliers antiques) mais s'est bien gardé d'avancer la thèse d'une possible Alésia dans les environs pour éviter des remous auprès de ses collègues. Antoinette Monnier tente de faire un lien avec la thèse Berthier tout en consolidant son argumentation en se référant à plusieurs érudits jurassiens.

Descripteurs archéologiques:

Descripteurs historiques:

Descripteurs militaires:

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Lieux cités:

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Notices associées: 
Notes sur le plateau de Chatelneuf avant le Moyen Âge
Louis-Abel Girardot (1848-1937). “Un grand savant modeste”

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