Dans cette conclusion provisoire, Michel Reddé indique d'emblée que “le dossier napoléonien doit être très strictement contrôlé... et que les observations des fouilleurs du second Empire ne sont pas exemptes d'aberrations ou de lacunes”. L'auteur, bien sûr, considère que “le texte de César ne saurait suffire à l'argumentation en raison de ses imprécisions”, l'archéologie de terrain ne parvenant pas à coller au texte césarien. Reddé fait état de la relative faiblesse de la défense offerte par les obstacles en creux dans la plaine des Laumes.
Pièces-jointes:
L'accès au fichier associé à cette notice est réservé aux utilisateurs connectés.