César J.

Long texte non signé d'une dizaine de pages d'un proche d'André Berthier (sans être celui-ci). Il s'agit très vraisemblablement d'un projet d'article qu'Antoinette Brenet prévoit de transmettre aux Cahiers Fustel de Coulanges et dont elle transmet copie à André Berthier (cf. C-1972-02283). Après avoir évoqué l'historique de l'affaire de la localisation d'Alésia, Brenet reprend les éléments descriptifs du site donnés par César dans ses Commentaires.

Suite à la parution en 1977 de l'ouvrage collectif “Histoire de la Franche-Comté” (Éd. Privat) sous la direction de Roland Fietier, André Berthier note un certain nombre de points en lien avec l'affaire de la localisation d'Alésia. Il relève plus particulièrement ce qui est dit aux pages 51-59 de cette affaire, passage semble-t-il écrit par Lucien Lerat. Berthier note avec malice que Lerat admet l'intention de César de passer par la Séquanie.

Depuis la mi-2016, un groupe d’une vingtaine d’universitaires et/ou archéologues comtois et bourguignons s’acharne à dénigrer publiquement non seulement les travaux d’André Berthier et sa thèse de localisation d’Alésia à Chaux-des-Crotenay mais aussi l’action et les écrits des défenseurs actuels de cette thèse.

Dans la continuité de la campagne médiatique déclenchée en août 2016 par le MuséoParc et un groupe de 21 universitaires comtois et bourguignons (cf. manifeste contre la thèse Berthier et Chaux-des-Crotenay), l'un des cosignataires du manifeste, Philippe Barral, est interviewé par la journaliste Lucille Topin. Le “spécialiste” reprend les arguments éculés, maintes fois mis en avant par les défenseurs d'Alise-Sainte-Reine. Il n'hésite pas à énoncer des contre-vérités notamment sur les travaux et résultats des sondages d'André Berthier.