4-Alésia-Chaux, la démarche et la découverte d'A. Berthier

Les Actes du Colloque de février 1998 à l'Institut Catholique de Paris comportent une série d'annexes importantes  pour justifier la localisation d'Alésia à Chaux-des-Crotenay :

• le “portrait-robot” morpho-géographique mis au point par André Berthier ;
• les éléments caractéristiques de la bataille ;
• les quarante composantes du “portrait-robot” ;
• la comparaison des deux sites Chaux-des-Crotenay - Alise-Sainte-Reine (ou “duel d'Alésia”).

Le 29 août 1996, le conservateur régional de l'archéologie, Bruno Bréart, rappelle à Jacques Berger que toute prospection archéologique est soumise à autorisation (le fonctionnaire régional se manifeste après un article de presse du 22 août évoquant les travaux de l'association A.L.E.S.I.A.). Le président Jacques Berger lui répond très courtoisement le 17 septembre suivant. Il précise à Bréart qu'il n'y a nullement besoin d'autorisation pour des prospections des reconnaissance de surface.

Échange de lettres en mars 1996 au sujet du refus de la revue La Jaune et la Rouge (École Polytechnique) de publier un article sur Alésia - Chaux-des-Crotenay. Le 2 mars, Michel Wartelle informe André Berthier de sa “non-rencontre” avec Maurice Bernard, président du Groupe X-Histoire-Archéologie des anciens de l'X (Polytechnique). Le 11 mars, M. Bernard écrit à M.

Le 10 mai 1996, François Billot fait part à André Berthier de la reconnaissance de terrain faite dans le voisinage des Messageries maritimes, où se trouve la “cathédrale Gérard”, muraille d'une centaine de mètres parallèle au mur des Chaumelles (à 20 m. de distance). Est notée la présence de deux niches contenant des pierres sacrées. Pour François Billot, l'ensemble pourrait être un vestige de la sacralisation de l'enceinte de la ville.