correspondance

André Berthier sollicite, en mai 1963, son frère cadet Joseph Berthier sur son texte relatif à sa thèse sur Alésia (première personne ayant réagi). Ayant reçu et lu attentivement les 22 pages de la thèse de son frère, Joseph indique d'emblée,  le 7 mai 1963, qu'il n'a que des objections à présenter : ayant visité Alise, il se dit impressionné par les trouvailles archéologiques de toutes sortes qui y ont été faites.

Lettre de Jacques Heurgon (latiniste, étruscologue, professeur à la Sorbonne) répondant, le 1er décembre 1963 à deux envois de manuscrits d'André Berthier, l'un “Villas des Mystères”, l'autre sur son travail sur Alésia. Heurgon prévient Berthier de se garder de Jacques Harmand (“ce garçon prétentieux et un peu toqué qui risque de  s'enferrer”) ainsi que de Rambaud. Pour cet érudit, le texte de Berthier sur Alésia est bien venu et de ton convaincant. 

Accusé de réception par René Michel-Dançon, secrétaire-archiviste de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (Institut de France), du pli cacheté 98/63 déposé par André Berthier. Date : 13 juin 1963.

Document composite. Une correspondance adressée à Berthier indique que l'auteur du mot manuscrit (x ? Méry) et Christian Goudineau considèrent que le fragment de céramique présenté est un rebord de calice ou cratère décoré du Service 1 de Haltern, antérieur à 5-10 de n. ère. : une planche tirée de l'ouvrage de Déchelette est jointe faisant ressortir une comparaison intéressante avec des trouvailles romaines de même époque faites à Bibracte. Dans le même mot, l'auteur non identifié considère que l'objet en fer est gaulois et vraisemblablement un ornement.