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Le site de la Cingernaux. Un ensemble qui dérange

Alain Mariot indique dans cet article de 2008 que le site de la Cingernaux est situé dans un vallon débouchant sur la vallée de la Saine et est dominé d'environ 30 à 40 mètres de collines aux pentes raides. L'entrée du vallon est barrée par la voie ancienne venant des Planches-en-Montagne pour aller vers le Grandvaux. On y observe un ensemble de murs et de plates-formes inscrit dans un rectangle de 40 x 25 mètres et une zone avec une vingtaine de tertres de pierres parfaitement alignés.

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J-2008-00203

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Le sanctuaire gallo-romain du Mont-Rivel

François Leng a travaillé de nombreuses années sur le Mont Rivel. Son article de 2008 fait le point sur les découvertes faites sur cette butte-plateau dominant Champagnole de 250 mètres. Il présente l'organisation générale de ce grand centre cultuel organisé autour de deux temples, l'un rectangulaire, l'autre octogonal. Une aire sacrée d'environ 8 000 m2 assure la liaison entre les deux temples. L'occupation du site a commencé avec les Gaulois comme en attestent des objets et des monnaies ou potins séquanes retrouvés dans les fentes de la roche.

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J-2008-00202

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Il y a 20 000 ans, 200 mètres de glace recouvraient Champagnole

Reprise en 2008 d'un article paru dans “Le Progrès” en 1991. Michel Campy interviewé par le journaliste Charles Thévenin explique l'existence , il y  a 20.000 ans, d'une langue glaciaire recouvrant le Grandvaux et la zone de Champagnole et Crotenay, venant buter contre la colline de Montsogeon et contre le Mont Rivel. Des buttes terminales de graviers ou moraines prouvent l'avancée de cette langue glaciaire. 

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J-2008-00201

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La photographie au service de l'archéologie

Jacques Renoux donne, dans cet article de 2007, de précieux conseils, en spécialiste avisé, pour réussir des photographies d'objets de petite taille, notamment des monaies anciennes. Il s'agit de faire apparaître le modelé de reliefs ciselés sans négliger la qualité du poli du métal ou les altérations dues à l'érosion. L'auteur détaille les diverses sources lumineuses susceptibles d'être utilisées et les diverses modalités d'éclairage (éclairage zénithal par réflexion, par exemple).

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J-2007-00199

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Lire et relire autrement le “Dictionnaire” de Rousset

Un travail de consolidation de mémoire collective est proposé, en 2007, par Jean Michel de façon à mettre à la disposition du plus grand nombre des textes essentiels dont par exemple “Les Notices Historiques du Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de Franche-Comté” d'Alphonse Rousset (1854). L'auteur des Notices exploite les travaux de Désiré Monnier et accumule de nombreux témoignages archéologiques.

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J-2007-00198

Les constats et la proposition de Pierre André

La revue ArchéoJuraSites publie, en 2007, la lettre adressée à son président par l'architecte-archéologue suisse Pierre André qui a visité le site de Chaux-des-Crotenay/Crans/Les-Planches-en-Montagne. Ne se prononçant pas sur la question d'Alésia, l'archéologue indique qu'il a vu sur le site une somme de vestiges allant du néolithique moyen jusqu'au temps des "Champs d'Urnes", soit de -3 000 à - 700.

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J-2007-00197

La bataille de “ Varus” ou bataille “de la forêt de Teutoburg” (l'an 9 de n. ère) et sa localisation

François Grosclaude raconte, dans cet article de 2006, l'histoire de la recherche de la localisation de la bataille de Varus en l'an 9 de n. ère qui montre des analogies intéressantes avec la détermination de la localisation d'Alésia. Gouverneur de Germanie, le légat Publius Varus tente de romaniser la zone outre-Rhin ce qui déclenche de violentes révoltes. En l'an 9, une confédération de troupes germaines dirigée par Arminius met en déroute les 15 000 à 20 000 Romains du légat Varus.

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J-2006-00194

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Du triangle à l'ellipse. Ou comment déterminer mathématiquement l'emplacement des lignes de défense romaines à Alésia

Jean Michel prolonge en 2006 la réflexion présentée dans le numéro 25 du Bulletin de l'A.L.E.S.I.A.  sur les diverses formes polygonales (triangle, carré... cercle) pouvant être envisagées pour la contrevallation et la circonvallation autour d'Alésia. Les données césariennes donnent explicitement les périmètres de ces lignes de défense. Cela permet mathématiquement de déterminer la surface de la partie assiégée, celle de l'espace entre les deux lignes et enfin la distance entre les deux lignes.

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J-2006-00193

La “Carte archéologique de la Gaule” et l'hypothèse d'André Berthier

François Grosclaude met en cause, en 2006,  la mauvaise foi de Marie-Pierre Rothé, auteur de la “Carte archéologique de la Gaule” (volume consacré au Jura, paru en 2001), un “pré-inventaire archéologique” qui  prend en compte les vestiges archéologiques du bronze final à l'époque mérovingienne. Dans les notices communales de Chaux-des-Crotenay, Crans, Syam et Chatelneuf, l'hypothèse d'André Berthier et sa méthode du portrait-robot y sont caricaturées, avec des citations d'articles polémiques accumulant les contre-vérités.

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J-2006-00192

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La méthode du Portrait-Robot dans la recherche d'Alésia. Les quarante composantes du Portrait-Robot

Le Bulletin de l'A.L.E.S.I.A. republie en 2006 les éléments clés du “portrait-robot” établi par André Berthier pour localiser Alésia à partir des textes antiques dont celui de César. L'article commence par présenter la conception progressive de l'image globale et des traits essentiels du portrait-robot. Il se poursuit en appliquant ce portrait-robot théorique au site de Chaux-des-Crotenay. Enfin il détaille quarante composantes de ce portrait-robot décelées dans l'étude des textes antiques, composantes classées en composantes géographiques, composantes tactiques, composantes stratégiques.

Cote de classement: 
J-2006-00191

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