ArchéoJuraSithèque

Publications de l'Association Lemme et Saine d'Intérêt Archéologique, aujourd'hui ArchéoJuraSites. Archives d'André Wartelle et de Jacques Berger et et autres documents d'archives propres de l'association (notamment après 2000).

Les constats et la proposition de Pierre André

La revue ArchéoJuraSites publie, en 2007, la lettre adressée à son président par l'architecte-archéologue suisse Pierre André qui a visité le site de Chaux-des-Crotenay/Crans/Les-Planches-en-Montagne. Ne se prononçant pas sur la question d'Alésia, l'archéologue indique qu'il a vu sur le site une somme de vestiges allant du néolithique moyen jusqu'au temps des "Champs d'Urnes", soit de -3 000 à - 700.

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J-2007-00197

La bataille de “ Varus” ou bataille “de la forêt de Teutoburg” (l'an 9 de n. ère) et sa localisation

François Grosclaude raconte, dans cet article de 2006, l'histoire de la recherche de la localisation de la bataille de Varus en l'an 9 de n. ère qui montre des analogies intéressantes avec la détermination de la localisation d'Alésia. Gouverneur de Germanie, le légat Publius Varus tente de romaniser la zone outre-Rhin ce qui déclenche de violentes révoltes. En l'an 9, une confédération de troupes germaines dirigée par Arminius met en déroute les 15 000 à 20 000 Romains du légat Varus.

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J-2006-00194

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Du triangle à l'ellipse. Ou comment déterminer mathématiquement l'emplacement des lignes de défense romaines à Alésia

Jean Michel prolonge en 2006 la réflexion présentée dans le numéro 25 du Bulletin de l'A.L.E.S.I.A.  sur les diverses formes polygonales (triangle, carré... cercle) pouvant être envisagées pour la contrevallation et la circonvallation autour d'Alésia. Les données césariennes donnent explicitement les périmètres de ces lignes de défense. Cela permet mathématiquement de déterminer la surface de la partie assiégée, celle de l'espace entre les deux lignes et enfin la distance entre les deux lignes.

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J-2006-00193

La “Carte archéologique de la Gaule” et l'hypothèse d'André Berthier

François Grosclaude met en cause, en 2006,  la mauvaise foi de Marie-Pierre Rothé, auteur de la “Carte archéologique de la Gaule” (volume consacré au Jura, paru en 2001), un “pré-inventaire archéologique” qui  prend en compte les vestiges archéologiques du bronze final à l'époque mérovingienne. Dans les notices communales de Chaux-des-Crotenay, Crans, Syam et Chatelneuf, l'hypothèse d'André Berthier et sa méthode du portrait-robot y sont caricaturées, avec des citations d'articles polémiques accumulant les contre-vérités.

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J-2006-00192

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La méthode du Portrait-Robot dans la recherche d'Alésia. Les quarante composantes du Portrait-Robot

Le Bulletin de l'A.L.E.S.I.A. republie en 2006 les éléments clés du “portrait-robot” établi par André Berthier pour localiser Alésia à partir des textes antiques dont celui de César. L'article commence par présenter la conception progressive de l'image globale et des traits essentiels du portrait-robot. Il se poursuit en appliquant ce portrait-robot théorique au site de Chaux-des-Crotenay. Enfin il détaille quarante composantes de ce portrait-robot décelées dans l'étude des textes antiques, composantes classées en composantes géographiques, composantes tactiques, composantes stratégiques.

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J-2006-00191

Dans quoi creuse-t-on les feuillées?

Le Major Bernard Gay démontre très rationnellement  dans cet article de 2005 que les déjections humaines et animales  produites sur une période de 6 semaines en été auraient conduit les assiégés d'Alésia à vivre dans un véritable cloaque dans l'hypothèse d'un enfermement sur un Mont Auxois de 90 hectares (sans parler de l'inévitable pollution de l'Oze et de l'Ozerain dont l'eau n'aurait alors plus été potable).

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J-2005-00189

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Les irréductibles Gaulois d'Uxellodunum

Reprise condensée dans le Bulletin de 2005 d'un article de Régis Najac paru en juillet 2004 dans “Trésors de l'Histoire”. En 2001, Uxellodunum est officiellement localisée sur l'oppidum du Puy-d'Issolud, mettant en émoi la communauté des spécialistes favorables à une localisation à Capdenac dans le Lot. L'auteur démontre les invraisemblances de la localisation officielle à Puy-d'Issolud (qui n'a jamais été une “ville”), en contradiction avec le récit d'Hirtius.

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J-2005-00188

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Petits détails dans une grande théorie

Danielle Porte présente dans un article de 2005 à multiples facettes des arguments pour contre-carrer des affirmations tenues ici et là par divers auteurs défendant généralement la thèse officielle d'Alise. Elle revient sur “altero die” qui veut bien dire “le lendemain”, en synonymie avec “Postero die”. Elle met en cause l'affirmation de la numismate Brigitte Fischer à propos de monnaies mandubiennes, qui, après rectification par la spécialiste, n'ont jamais été trouvées.

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J-2005-00187

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Les pierres de Saint-Pierre. En mémoire de Jean Ferrez

Article écrit en 2005 en hommage à Jean Ferrez, membre de l'association A.L.E.S.I.A. et décrivant un mégalithe et un site cultuel au hameau de Saint-Pierre, à proximité de l'oppidum de Chaux-des-Crotenay. Ce menhir, pierre levée, est de forme parallélépipédique, de 1,60 m. de hauteur. Il est creusé d'une cupule parfaitement arrondie. Orthographe alternative : Ferré?

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J-2005-00186

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Toujours le triangle ... et la preuve par neuf

Dans cet article de 2005, Jean Michel étudie de façon formelle les diverses formes polygonales (triangle, carré... cercle) pouvant être envisagées pour la contrevallation et la circonvallation autour d'Alésia. César donnant précisément les périmètres de ces lignes de défense, on peut déterminer, à partir de là, la surface de la partie assiégée, celle de l'espace entre les deux lignes et enfin la distance entre les deux lignes. Ces trois valeurs sont les plus faibles dans le cas du triangle.

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J-2005-00185

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