Autres possibles Alésia hors Chaux-des-Crotenay et Alise

En juillet 1966, s'est tenue à Rouen le Congrès de l'association Française pour l'Avancement des Sciences. Une communication y a été présentée par R. Damien : “Étude des alignements alésiens”. Berthier ayant demandé à l'auteur une copie de sa communication, ce dernier lui adresse une copie. Trois pages de notes de Berthier sont jointes (positionnement en longitude et latitude).

Bernard Fèvre, promoteur du site de Guillon (Yonne) comme possible Alésia intervient le 3 décembre 1990 auprès de François Pitti Ferrandi, Président du Conseil d'administration de Radio-Courtoisie. Il déplore le fait que l'abbé André Wartelle a dénigré le site de Guillon lors d'une émission à la radio. Il ne reprendra donc pas son adhésion à Radio-Courtoisie.

Dans ce numéro 120 (oct.-déc. 1968) du Jura Français, le Général Henry Martin (président du Jura Français) rappelle la thèse d'Alexandre Bérard qui situait Alésia à Izernore dans l'Ain. Bérard savait qu'une ville gallo-romaine s'était développée à cet emplacement après la défaite gauloise d'Alésia.

Annie Demontfaucon présente en 2003 dans Le Progrès, deux articles consacrés à la thèse Alésia-Guillon. Le premier présente le travail de Serge Barnoud, géologue, sourcier et écrivain du Beaujolais, qui, après avoir étudié les sites de Chaux-des-Crotenay et du Mont Auxois, en vient à retenir comme crédible la thèse de Bernard Fèvre (Guillon). Le second article complémentaire détaille les découvertes du site de Guillon et revient sur la polémique de la localisation d'Alésia. La recherche de la vérité grâce aux baguettes du sourcier...