Lettre ouverte à Vercingétorix sur les falsifications de son histoire. Suivie d'une postface à la seconde édition
Origine du document:
Lieu de conservation:
Type de document:
Langue:
Personnes physiques citées:
- Vercingétorix
- Piganiol A.
- Le Gall J.
- Millet A.
- Napoléon III
- Héric
- Montaigne M. (de)
- Duruy V.
- Mérimée P.
- Stoffel E.
- Duval P.M.
- Carcopino J.
- Harmand J.
- Bayet J.
- Martin H. (ac)
- Richenet-Bayard
- Colomb G.
- Quicherat J.
- Rambaud M.
- Vercassivellaunos
- Colbert de Beaulieu J.B.
- Kir F.
- Pernet V.
- Saulcy L.F. (de)
- Epasnactos
- Ambroise-Rendu M.
- Martialis
Affaire / dossier:
Titre Revue Périodique:
Ré-édition en 1992 par l'institut Vitruve d'un texte d'Antoinette Brenet, paru en 1984, mettant en relief, de façon décalée, les falsifications ayant été faites pendant plus d'un siècle autour de la localisation officielle d'Alésia à Alise-Ste-Reine. A. Brenet commence par une remarque sur la statue de Vercingétorix à Alise-Sainte-Reine. Elle revient ensuite sur les biais introduits par Napoléon III dans la recherche de la vérité sur Alésia. Elle poursuit sa lettre avec la question de la toponymie avec la thèse étonnante des défenseurs de Salins basée sur l'étymologie de Mandubien (la fameuse racine “Mand”). Le passage sur les fouilles d'Alise est l'occasion d'égratigner sérieusement les tenants de la thèse officielle. La lettre se termine par l'évocation de la thèse d'André Berthier, remettant en cause la localisation d'Alésia, et celle des obstacles mis devant l'archéologue pour mener à bien ses travaux.
Personnes morales citées:
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