Marianne Mulon et la question d'Alésia

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Cote de classement: 
J-2017-03909

Auteur personne physique:

Langue:

Date: 
03/2017
Pagination: 
6 p.
Année de production: 
2017

Titre Revue Périodique:

Numéro périodique: 
11
Références pages de la source: 
pp. 7-12
Note: 

Gérard Taverdet (linguiste, spécialiste des patois bourguignons, professeur émérite à l'Université de Dijon et ancien Président de la Société Française d'Onomastique) revient sur les études de Marianne Mulon dont il a été collaborateur. Marianne Mulon (paléographe, conservateur en chef des archives nationales) travailla de manière très approfondie avec André Berthier après le retour d’Algérie de celui-ci. Elle a contribué à l'ouvrage d'André Berthier et André Wartelle (“Alésia”) avec un texte sur les questions de toponymie. Pour Gérard Taverdet “Marianne Mulon dans ces quelques pages nous a montré qu’il ne fallait pas tout attendre de l’onomastique ; l’affaire d’Alesia a certainement contribué à séparer l’onomastique de l’histoire ou de l’archéologie et à faire de notre discipline un peu plus qu’une simple science auxiliaire de l’histoire, comme on le croit encore souvent en haut lieu. On doit considérer son texte qui renvoie les deux adversaires [Alise-Sainte-Reine, Chaux-des-Crotenay] dos à dos comme un des textes fondateurs de l’onomastique moderne”.

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